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5 septembre 2006

Islam-point chaud 2: La femme, BATTUE EN ISLAM?

Beaucou de monde connait le fameux verset où, après avoir essayé plusieurs solutions avec les femmes dont on craint l infidelité (la tromperie), on est alloué à les frapper... mais le Coran étant très profond, il est impératif d'aller au delà du sens superficiel de ses versets et d'essayer de creuser pour en comprendre le sens. Cet effort d'interprétation est certes réservé aux savants musulmans, ceci dit, l'effort de la recherche des différentes interprétations des versets coraniques nous revient à tous, en tant que musulmans aspirant à comprendre leur propre religion.

Dans ce qui suit, je partagerai avec vous une interprétation qui m'a semblé très logique, citée au sujet du délicat thème de "frapper les femmes", au cours de la conférence annuelle "Reviving The Islamic Spirit" à Toronto, par l'imminent savant le docteur Tariq Souwaidane (notons qu'au delà de son savoir islamique, il détient un PhD en petrolium).

Dans le coran, le mot "daraba = frapper" a été utilisé à plusieurs reprises pour désigner 3 sens différents:

a. Darb al a3na9 (battre les cous) = le sens de frapper comme on le concoit, càd battre (ds le cas des guerres)

b. Douribate aalayhimou ddilla (l'humiliation est tombée sur eux) = quand un mauvais événement tombe sur quelqu'un.

c. Wa d'ribou fi l 2ard (marchez dans la terre, quittez un endroit vers un autre...) = quitter un endroit, bouger, se déplacer d'un endroit à un autre...

et là Tariq Souwaydane s'exprime: Alors, pourquoi a-t-on opté juste pr le 1er sens (battre) et non pour les deux autres????

Quand ce genre de situations se produit (différentes interprétations possible pour un même verset coranique), en islam, afin de trancher quel sens il faut prendre en compte, la solution est TRES TRES SIMPLE: après avoir puisé dans le coran, on se refère au prophete (SAWS), à sa vie, à ses actes, pour voir si ça peut nous éclairer davantage sur l'intérprétation à tirer du verset en question. Il se trouve justement (et heureusement) que cette situation est effectivement arrivée, et le prophete (SAWS) a essayé les 3 premieres solutions (parler gentiment a sa femme, ne plus partager son lit...), ca n a rien donné, et quand il est arrivé au dernier stade (frappez-les), qu a t il fait?  IL A QUITTÉ LA MAISON CONUGALE ET EST PARTI A LA MOSQUÉE OÙ IL A SÉJOURNÉ PENDANT UNE VINGTAINE DE JOURS.

=> CONCLUSION: IDRIBOUHOUNNA a été utilisé dans le sens "c" = quittez les (le temps qu elles se rattrapent et qu elles sentent que leur mari est faché...)

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Commentaires
C
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T
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E
Le mari a-t-il le droit de battre sa femme en islam ?<br /> <br /> Question :<br /> <br /> <br /> <br /> L'islam demande-t-il à l'homme de frapper sa femme ? Cela est-il permis par le Coran ?<br /> <br /> Réponse :<br /> <br /> <br /> <br /> Je vous envoie, comme réponse à votre question, l'extrait d'un article dont je trouve qu'il traite bien la question que vous posez :<br /> <br /> <br /> <br /> "Il ne suffit pas de citer un passage du Coran pour avoir tout démontré, définitivement. Car il faut également savoir comment le texte en question s'insère dans la Révélation et dans son histoire. (…)<br /> En effet, le Coran a été révélé sur vingt-trois années, il y a eu la période mecquoise et la période médinoise, certains versets répondent à des événements circonstanciés, tel verset précède tel autre, certaines interdictions ont été révélées par étapes (le vin, ou ar-ribâ par exemple), enfin, l'absolu du message révélé est sujet à une interprétation tenant compte du moment historique – et donc relatif – que lui donne le sens. (…)<br /> C'est en gardant ces considérations en mémoire que l'on peut aborder la question qui nous occupe ici. En effet, la question qui a trait à la femme en islam nécessite une lecture du Coran forcément précise, méticuleuse et pointue.<br /> <br /> <br /> La société des Arabes de la Mecque était patriarcale. La femme était peu considérée et n'avais pas, à proprement parler, de véritable statut social. (…) Pendant de nombreuses années [quand le Prophète vit à la Mecque], les révélations vont se succéder pour faire mûrir les croyants et leur permettre, chaque jour davantage, de se distancer, de "s'arracher" pourrait-on dire, de leurs anciennes habitudes, de leurs anciens réflexes. (…) Par la Révélation et par l'exemple du Prophète, les premiers musulmans apprenaient à se réformer. <br /> <br /> <br /> <br /> Bientôt, avec l'Hégire [l'émigration de la Mecque à Médine], ils allaient franchir une étape décisive dans leur éducation religieuse. (…)<br /> <br /> <br /> <br /> La société de Médine est tout à fait différente de celle de la Mecque. La femme a un rôle social bien plus important et certains clans sont organisés selon les principes du matriarcat. Très vite, les nouveaux émigrés [d'origine mecquoise] vont être troublés par les façons de faire des femmes Ansâr (femme de Médine). Présentes dans la vie publique, elles s'affirment nettement dans l'espace privé. Omar ibn al-Khattâb (qui sera plus tard le second calife de Muhammad) affirma qu'avant l'hégire "nous nous imposions à nos femmes, mais lorsque nous nous sommes rendus chez les Ansâr où les femmes s'imposent dans leur clan, nos femmes commencèrent à prendre les habitudes des femmes ansârites" (Al-Bukhârî, Muslim) (…). <br /> Ainsi, la vie à Médine allait être une seconde étape décisive dans l"'affirmation du statut des femmes dans la société islamique. (…) La révélation de la sourate Les femmes va déterminer quelques-uns des droits intangibles de la femme. De façon claire, et après que lui fut reconnu un statut identique à l'homme sur le plan religieux, elle trouve là la formulation claire de sa personnalité juridique sur le plan familial et social. On perçoit dès lors que le Coran a mené l'homme à comprendre tout à la fois l'égalité fondamentale et la complémentarité nécessaire de la l'homme et de la femme.<br /> <br /> <br /> (…) Il a fallu de nombreuses années pour réformer les coutumes de l'époque. A la Mecque surtout, mais à Médine également, il restait un nombre considérable de femmes maltraitées. Après être intervenu contre le meurtre des filles, le Coran détermine le mode de conduite des hommes s'il devait se trouver que leur femme les néglige ou les trahisse : "Quant à celles dont vous redoutez (savez) la négligence (la trahison, la rébellion), exhortez-les, éloignez-les alors dans le lit et frappez-les…" (Coran 4/34)<br /> <br /> <br /> <br /> Beaucoup ont vu dans ce verset la preuve que l'homme avait tous les droits, dont celui de frapper son épouse. Or, à y regarder de plus près, – et en tenant compte de nos remarques préalables – on s'aperçoit qu'il n'en est rien. Tous les commentateurs, et cela dès la première heure, ont relevé le fait qu'il y avait dans ce verset un ordre précis qui, par sa nature même, avait une fonction pédagogique pour des hommes enclins à en venir immédiatement aux mains (ce verset fut révélé après qu'une femme se soit plainte auprès du Prophète (sur lui la paix) d'avoir été giflée par son mari – at-Tabarî). <br /> En effet, il s'agit, d'abord, d'exhorter ("fa'izûn hunna") son épouse (et non pas de l' "admonester" comme l'écrivent les traductions de Masson et de Chouraqui) en lui rappelant les versets du Coran, disent les commentateurs (Ibn Kathîr, al-Qurtubî). Ce n'est que si elle persiste dans son attitude de refus qu'il convient de "l'éloigner dans le lit", ce que l'on a interprété comme le fait de manifester clairement la volonté d'éviter tout rapport affectif. <br /> <br /> Tous les commentateurs du Coran, du plus ancien (at-Tabarî) au plus récent, ont précisé qu'il s'agissait de passer par les étapes prescrites. Si rien de tout cela n'y fait, alors, et alors seulement, il serait permis de "frapper" : il s'agit, comme le dit Ibn Abbâs dans une interprétation qui date de l'époque du Prophète (sur lui la paix) d'un coup symboliquement manifesté à l'aide de la branchette du siwâk. <br /> <br /> <br /> Le propos devient dès lors plus clair. A l'adresse des Arabes, il est précisé que toutes les voies doivent être utilisées avant d'en arriver à exprimer sa mauvaise humeur. Il est la dernière instance et en cela, dans son non-violence, il est la seule violence permise. Le message adressé aux hommes est on ne peut plus clair : la voie du dialogue et de la concertation avec son épouse est celle qui correspond à l'esprit qui se dégage de la Révélation. <br /> Par ailleurs, l'enseignement ne s'arrêtait pas à ce verset et à son interprétation : l'exemple du Prophète, plus que tout, était à même d'exprimer le comportement idéal." (Islam, le face à face des civilisations, Tariq Ramadan, annexe IV) <br /> <br /> <br /> <br /> Je voudrais, pour ma part, juste ajouter deux lignes pour rappeler qu'en effet, le Prophète a dit : "Ne frappez pas les servantes de Dieu [les femmes]." (rapporté par Aboû Dâoûd, authentifié par an-Nawawî). <br /> Des femmes musulmanes étaient venues se plaindre auprès des épouses du Prophète que leurs maris les frappaient et le Prophète dut faire une intervention dans la mosquée en ce sens (rapporté par Aboû Dâoûd, authentifié par An-Nawawî). D'autres Hadîths authentiques du Prophète existent encore sur le sujet ("an-nah'y 'an-idh-dharb il-mubarrih", etc.).<br /> D'ailleurs, Aïcha, épouse du Prophète, raconte de lui : "Jamais il n'a frappé quelqu'un, ni une épouse, ni un serviteur. La seule occasion [où il utilisait la force de son bras contre quelqu'un] était lorsqu'il combattait pour la cause de Dieu [contre des soldats ennemis]." (rapporté par Muslim).<br /> Le Prophète a dit aussi : "Le plus parfait des croyants est celui qui a le meilleur caractère. Et les meilleurs d'entre vous sont ceux qui sont les meilleurs avec leur femme" (rapporté par at-Tirmidhî, authentifié par an-Nawawî). <br /> <br /> <br /> <br /> De plus, des juristes musulmans sont d'avis que la femme battue ou maltraitée a le droit au divorce et qu'il lui suffit de porter plainte auprès du juge musulman (qâdî). C'est l'avis notamment de Chaykh Khâlid Saïfullâh, juriste musulman très connu en Inde (cf. Islâm aur jadîd mu'âsharatî massâ'ïl, Khâlid Saïfullâh, pp. 159-166).<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Conclusion<br /> <br /> <br /> <br /> L'islam n'a pas donné au mari le droit de battre sa femme.<br /> <br /> <br /> <br /> Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).
A
Au Nom dAllah, Le Miséricordieux, celui qui fait miséricorde.<br /> <br /> <br /> Jécris ce message, pour mes soeurs surtout sur ce site, car il est de mon devoir de leur faire part de mes connaissances, lorsquelles sont attaquées sur leur foi.<br /> <br /> Il est de mon devoir de rétablir la justice pour que mes soeurs puissent répondre a ceux qui sans cesse les dénigrent et qui sans cesse attaque la religion musulmane.<br /> <br /> <br /> <br /> Les perturbateurs pensent prendre en défauts mes soeurs et pensent pouvoir les faire quitter de leur chemin, ils pensent pouvoir les ébranler dans leur foi en donnant un verset, leur préféré :<br /> <br /> Le verset 4 34.<br /> <br /> <br /> 34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs que Dieu accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection de Dieu. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Dieu est certes, Haut et Grand !<br /> <br /> <br /> Mes soeurs, laissez moi vous faire découvrir la supercherie de cette traduction. Avant tout sachez que cette traduction vient des musulmans eux-mêmes mais vous savez très bien que les messieurs aiment tout changer à leurs avantages et ont dénaturé le message islamique depuis des siècles . Hors Islam cest le coran est son explication par le prophète (saw) Vous pouvez écraser, et jécrase tout ceux qui contredisent ces deux sources.<br /> <br /> <br /> Ce verset en ... est le suivant :<br /> <br /> Arrijalu qawwamoonaAAala annisa-i bima faddalaAllahu baAAdahum AAala baAAdin wabimaanfaqoo min amwalihim fassalihatu qanitatunhafithatun lilghaybi bima hafithaAllahu wallatee takhafoonanushoozahunna faAAithoohunna wahjuroohunnafee almadajiAAi wadariboohunna fa-in ataAAnakumfala tabghoo AAalayhinna sabeelan inna Allaha kanaAAaliyyan kabeera<br /> <br /> <br /> La première erreur cest la traduction de Qawwama :<br /> <br /> Il est traduit par supérieur. Or pour comprendre le coran, il faut le lire selon ce que voulait dire ce mot a lépoque.<br /> <br /> Pour cela et je vous invite a vérifier par vous-même prenez le Lissan Al arab, Lencyclopédie ethymologique la plus célèbre et la plus ancienne et vous verrez que Quawamma na absolument pas comme connotation de supériorité.<br /> <br /> Quawamma veut dire : Base, structure, colonne, soutien et certainement pas supérieur.<br /> <br /> Le verset doit être traduit comme suivant :<br /> <br /> Les hommes soutiennent ou sont un appui pour les femmes à cause des faveurs que Dieu a accordé a ceux la sur celles- ci.<br /> <br /> <br /> Passons à la seconde partie :<br /> <br /> Wadaribroona est traduit pas frappez les :<br /> <br /> Et ici cest non seulement une erreur, mais un crime. Car Wadaribroona vient du verbe Daraba et dans ce verset cest limpératif, qui veut dire certes frappez les, mais pas uniquement :<br /> <br /> Daraba veut aussi dire quitter, saisir, ou encore expliquer, voyager.<br /> <br /> Daraba est utilisé plusieurs fois dans le coran notamment dans la même sourate 4 : 101 : <br /> <br /> <br /> An-Nisa [4:101]<br /> <br /> 101. Et quand vous parcourez la terre, ce n'est pas un péché pour vous de raccourcir la Salat, si vous craignez que les mécréants ne vous mettent à l'épreuve, car les mécréants demeurent pour vous un ennemi déclaré.<br /> <br /> <br /> Wa-itha darabtum fee al-ardifalaysa AAalaykum junahun an taqsuroo mina alssalatiin khiftum an yaftinakumu allatheena kafaroo inna alkafireenakanoo lakum AAaduwwan mubeenan<br /> <br /> <br /> <br /> Qui se traduit par "Et si vous parcourrez la terre..." dans ce verset le verbe "daraba" veut dire quitter un bout de terre ou voyager... Si on traduit par frapper, ça n'a plus aucun sens ! <br /> <br /> Il ya dautres versets, ou Daraba donne dautres sens, mais cest pas la peine daller plus loin<br /> <br /> Il faut donc traduire, non pas par frappez les mais quittez les ! Dans le sens séparez vous un moment pour réfléchir.<br /> <br /> Surtout que le verset suivant dit :<br /> <br /> 35. Si vous craignez le désaccord entre les deux [époux], envoyez alors un arbitre de sa famille à lui, et un arbitre de sa famille à elle. Si les deux veulent la réconciliation, Dieu rétablira l'entente entre eux. Dieu est certes, Omniscient et Parfaitement Connaisseur.<br /> <br /> <br /> c'est la preuve qu'ils sont séparés.<br /> <br /> Le verset 4-34 a été donné lorsquune femme alla se plaindre parce que son mari lavait frappé.<br /> <br /> Le prophète de Dieu a dit : Les meilleurs dentre vous ne frapperont pas leur femme. (bukhari)<br /> Il a dit encore : Ne frappez jamais les servantes dAllah. (bukhari)<br /> <br /> On demanda a Aisha (ra) comment était le prophète (saw) : Elle répondit, Son comportement était le coran.<br /> <br /> <br /> En effet le coran interdit quon frappe la femme, et le prophète interdit quon frappe la femme.<br /> <br /> "Ne frappez jamais les femmes même avec une fleur"<br /> <br /> Ou encore, <br /> Ne frappez jamais les servantes dAllah. <br /> <br /> Vous avez maintenant des connaissances suffisantes pour répondre aux gens mal intentionnés et ceux qui veulent vous faire douter de lIslam. <br /> <br /> <br /> Que la paix soit avec les hommes et les femmes de bonne volonté.<br /> <br /> Et Allah sait mieux.
M
salam alikoum<br /> je suis un jeune algerien de 28 ans , etudient en medecine ,qui cherche a etre integrè avec vous pour servire l'ISLAM , je ne sais pas quoi dire encor , ou bien comment faire pour etre avec vous et surtous je veus bien parler avec TARIK SOUIDANE si c'est possible inchaALLAH ,<br /> veuillez bien me repondre a mon sujet meme pour dire n'importe quoi <br /> salam alikoum
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